Les relations toxiques empoisonnent la vie. Elles sont source de conflits, de complications inutiles, de stress et de perte d'estime de soi.

Elles peuvent se vivre au sein de la cellule familiale (quand l'enfant doit anticiper les besoins des parents et ne jamais les décevoir.), amicale (compétition dans les activités, concurrences, contrôle sur l'autre), personnelle (violence psychologique, physique, sexuelle ou matérielle) ou professionnelle (persécution, augmentation de la charge de travail, « mise au placard », des consignes floues ou contradictoires, des compétences remises en question etc.) .

Sans omettre notre propre « prédateur intime » avec qui la relation est parfois houleuse. Ce critique intérieur, cette petite voix qui nous pousse à faire ce qui nous nuit, nous empêche de faire ce qui est bon et juste pour nous. Cette voix qui nous critique avec sévérité et nous juge sans cesse.

Pour ma part, j'étais la spécialiste des relations toxiques amoureuses. Bien évidemment, je vivais aussi étroitement avec mon critique intérieur. Je choisissais toujours des hommes qui me jugeaient, m'emprisonnaient, m'humiliaient et me rabaissaient... (toujours pour mon bien, hein). Ce ménage à trois destructeur a bien failli avoir raison de ma santé mentale et physique jusqu'au jour où une amie, suite à mes plaintes, me rétorque :

« Tu sais, Édith, que tu attires les pervers narcissiques est une chose mais que tu choisisses d'y aller, d'entrer en relation avec est autre chose. »

BIM ! En un instant, elle me renvoya à mes responsabilités.

Cette phrase fut un électrochoc qui m'a permis de transformer ma vie. Effectivement, que se passait-il en moi pour que je fasse ce choix de relation ?

En premier lieu, j'ai découvert que les hommes avec qui je me sentais humiliée m'excitaient sexuellement (Je vous dis tout !). Deuxième déflagration. Je choisissais réellement ces hommes et ces relations.

Deuxième prise de conscience, je recherchais l'humiliation car j'étais en total désamour de moi-même. En allant vers ce genre de personnalités, je cherchais donc à m'humilier, à me faire du mal, à me détruire.

Une fois la blessure mise en exergue, j'ai œuvré à m'offrir cet amour que je me refusais depuis si longtemps. J'ai accepté mes parts sombres et surtout appris à ne pas avoir peur de ma lumière. Puis je me suis reconstruite ou devrais-je dire retrouvée, pleine, entière, authentique et divine.

À partir de ce jour, ma vie s'est transformée. Comprendre cette blessure, dialoguer avec elle, lui apporter ma bienveillance a bouleversé mes choix relationnels et ce, dans tous les domaines.

On choisit, de façon inconsciente, de vivre ces relations. Nos blessures, elles, choisissent scrupuleusement ces relations.

Dans ce stage de deux jours, je vous propose de :

Jour 1 (9h30-17h) : Travailler sur vos blessures pour briser les schémas répétitifs toxiques :

• Quelles sont-elles ? Les identifier, les diagnostiquer, les comprendre.
• Les libérer par des protocoles issus du modèle IFS (Internal Family Systems), des protocoles créatifs et des enseignements de Lise Bourbeau.

Jour 2 (9h30-17h): Se reconstruire.

• Comment agir ?
• Reprendre confiance en soi.
• Rayonner et recouvrer son autonomie.

Je vous accueille dans un environnement magnifique : L'orangerie du château de Saint Jean le Blanc pour un week-end intense en guérison le weekend du 6 et 7 novembre 2021.

Modalités :

• Prix : 190€ (90€ d'acompte à la réservation et 100€ le premier jour du stage avec possibilité de payer en 2 chèques si difficultés financières).

Réservation obligatoire avant le 18 Octobre 2021.

• Prévoir repas du midi et tenue souple.

L'évènement sera annulé si moins de 4 participants. Dans ce cas les acomptes seront remboursés.

Au plaisir d'oeuvrer avec vous.

Edith